❝ CALYPSO NAUSICAA KOKINOS.❞

NOM(S), PRÉNOM(S)☞ Kokinos, Calypso Nausicaai AGE ☞ 24 ans DATE & LIEU DE NAISSANCE ☞ 12 Janvier 1987, à Athènes STATUT ☞ célibataire, c'est compliqué ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE ☞ animatrice radio et télé STATUT FINANCIER ☞ moyenne GROUPE ☞ lay all your love on me AVATAR ☞ Deborah Ann Woll

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Spoiler:

❝ the story of your life.❞

Je suis née un jour de Janvier, à Athènes. Souvent dans ces moments, on est plutôt seul. Mais dès ma naissance il a fallut qu'il en soit autrement. Ma mère n'a pas accouché d'un enfant, mais de trois d'un coup. Comme elle avait eu du mal à retomber enceinte après notre grand frère, mes parents avaient fait appel à une FIV. Et c'est ainsi que trois petites filles virent le jour le 12 Janvier. Ma mère n'avait pas choisi l'option de la césarienne ou de la péridurale, elle n'était pas ce genre de femme. Elle travaillait comme herboriste dans le genre de boutique où n'entre que des personnes âgées, alors tout ce qui relevait de la médecine moderne ne lui plaisait pas. Mon père, lui, était professeur d’archéologie. Il était souvent sur des sites, cherchant des vestiges. Même si notre père n’était pas très présent, c’était son travail qui leur permettait d’assumer quatre enfants. Ma mère nous a souvent raconté à quel point notre frère, Rheo, avait été jaloux lorsqu’il était venu nous voir à la maternité, il était aussi surpris qu’on soit si petites. Nous sommes rapidement rentrés à la maison, nous étions des petits bébés en pleine forme. À la maison, maman a eu besoin d’aide. Trois enfants et une charge assez importante et l’absence de mon père n’a aidé en rien. L’un des meilleurs souvenirs de notre petit enfance reste le premier jour où nous sommes allés à la mer. Nous avons une tonne de photos de ce moment là, où notre mère nous met dans l’eau et nous fait patauger un peu. C’est l’un des derniers souvenirs heureux que j’ai avec mes parents. Je ne sais pas ce qui s’est passé mais d’un coup, les cris se sont invités dans notre maison où seul le bonheur régnait. Nous étions encore jeunes mais pas assez pour ne pas comprendre que c’était la fin de quelque chose…

J’avais huit ans quand nos parents ont décidé de briser nos vie. Je ne sais plus très bien quel jour c’était mais je me souviens que nous nous sommes tous retrouvés dans le salon, mes parents en face de nous. Ils voulaient faire les choses bien pour pas qu’on en souffre, ils voulaient qu’on comprenne que c’était mieux ainsi. Mais lorsque l’on est enfant et que nos parents divorcent, la seule chose qu’on comprends c’est que rien ne sera plus jamais pareil. On s’imagine avec deux maisons, deux chambres, deux Noël, deux anniversaires, une belle-mère et un beau-père, un demi-frère qu’on voit une semaine sur deux… Je ne me voyais pas vivre comme ça, mes sœurs et mon frère non plus. On se tenait tous la main, essayant de trouver du soutien au près de l’un d’entre nous. Mais le pire était à venir et nous n’en savions rien. Nous étions tous d’accord pour aller vivre avec notre père, seulement, un détail nous avait échappé. Mon père voulait partir aux Etats-Unis pour vivre plus près de la nouvelle femme qu’il aimait. Nous n’avions pas le choix, nous sommes partis tout en sachant qu’on brisait le cœur de notre mère. Si nous étions resté à Athènes nous aurions brisé celui de notre père. Par leur divorce, ils nous rendaient coupable de quelque chose qu’on ne voulait pas. Nous sommes partis plus rapidement que je ne l’aurais pensé. Tout était tellement différent à New York. Mon père s’en était bien sûr rendu compte et il nous avait épargné la rencontre avec la nouvelle femme de sa vie. Tout était tellement difficile, il fallait parler anglais tout le temps, on devait changer toutes nos habitudes, se faire de nouveaux amis. Tout était tellement compliqué. Les jours ont passé, puis les semaines et les mois et nous avons fini par nous y faire. On ne voyait notre mère plus que pendant la moitié des vacances. Mon père s’est marié quatre ans plus tard. Mon frère était son témoin et nous étions celles de ma belle-mère, Gretchen. C’était une femme fantastique, on aurait pas pu rêver mieux et elle était adorable avec mon père. Je crois que j’ai fini par l’apprécier plus que ma propre mère.

Adolescente, j’étais le genre de fille à raconter n’importe quoi, à faire des blagues tout le temps. J’étais plutôt la rigolote que l’intello comme ma sœur Tabitha ou la fille timide comme ma sœur Pancy. Nous étions toutes les trois différentes mais nous étions les meilleures amies du monde. Mon père avait voulu acheter une maison pour que nous ayons chacune notre chambre mais tous les soirs, nous nous retrouvions dans la chambre de l’une ou de l’autre pour dormir ensemble. Ça avait fait rire mon père quand il avait découvert notre petit secret. Au lycée, j’ai eu la mauvaise idée de tomber amoureuse de mon meilleur ami. On voit cette histoire de partout, c’est tellement banale que je m’en suis voulue. Lui et moi étions tellement différents, d’un point de vue de caractère mais aussi de milieu social. Tout le monde se demandait comment nous pouvions être amis. On partageait la même passion pour les vinyles et les vieux journaux. Nous nous étions d’ailleurs rencontrés au journal du lycée où je passais pas mal de temps. L’année suivante, lorsque j’étais à la radio du lycée, il était toujours avec moi. J’ignorais ce qu’il ressentait, ce qui se passait dans sa tête lorsqu’il entendait mon prénom, lorsqu’il me voyait… Les choses se sont finalement fait petit à petit et un jour, alors qu’on se baladait sur la plage il m’a embrassé, sans que je m’y attende. Ce fut le début d’une histoire d’amour, la première, celle qui vous donne des ailes, ça qui vous fait battre le cœur à la chamade du début à la fin. C’est aussi celle qui se finit trop vite, trop tôt, trop brutalement, celle qui vous apprends que l’amour ne fait pas que du bien, que cela peut aussi blesser, tuer, achever. C’est moi qui ai mit fin à notre histoire, sans vraiment le vouloir. Disons que parfois, la vie à d’autres plans pour vous que ceux que vous mettez en place. A ce moment là, je n’avais pas le choix, je n’avais plus de temps pour lui, ma sœur Pancy passait avant tout.

Pancy, la timide des trois, nous cachait des choses à Tabitha et à moi… Un soir, elle n’est pas venue dormir avec nous, elle restait de plus en plus dans sa propre chambre. Nous avions trouvé ça étrange, comme le fait qu’elle rentre plus tard que nous du lycée, elle avait changé. Nous avons décidé d’en parler à notre père. Il ne nous a rien dit, simplement qu’il allait en parler avec elle et qu’il verrait si quelque chose ne va pas. Le lendemain soir nous nous sommes retrouvés dans la même position que lors du divorce de mes parents, à la différence que je n’avais que la main de Tabitha a tenir. Je me souviens encore de chaque mots qu’ils sont dit, chacun à leur tour, pour essayer de nous expliquer ce qui se passait. Trois mots ont complètement changé notre vie, notre vision des choses : Pancy est malade. Elle était vraiment malade, le genre de malade dont on ne connait pas le nom parce qu’elles sont trop rares, le genre de maladies pour lesquelles les médecins n’ont pas de traitement. Notre sœur allait mourir… Nous ne savions pas quand mais nous savions que ça allait arriver. J’ai regardé Tabi et j’ai pleuré. Je refusais de laisser une de mes sœurs mourir, toutes les deux étaient une partie de moi… Les jours sont passées, on a encaissé la maladie de ma sœur et on a décidé de faire pleins de choses avec elle, le plus possible, profitant de chaque moment. Les médecins disaient qu’elle allait un peu mieux et qu’elle tenait bien le coup. Elle est morte la semaine suivante. Fini les triplés. J’avais l’impression d’être seule, malgré Tabitha. Rien n’était plus pareil, rien ne me faisait rire, j’avais besoin de ma sœur, celle qui me faisait un bien fou. Je ne pouvais plus rester à New York, c’était trop dur. J’ai fait mes valises et suis partie sans un mot, sans rien. La Grèce semblait l’endroit parfait pour recommencer, encore.

Je suis donc retournée à Athènes pour mes études de journalisme, j’habitais chez ma mère, contente que je sois là avec elle. Elle aussi avait besoin de soutien. J’ai fini par faire mon deuil, j’ai fini par faire mon deuil et par revivre petit à petit. La Calypso triste n’a pas fait long feu et je suis redevenue la fille déjantée que j’ai toujours été, qui fait des blagues à tout va. J’ai eu un poste dans un journal puis dans une émission de radio. Ce dernier travaille me passionnant plus que d’écrire des articles. J’ai décidé de partir d’Athènes pour m’installer à Skopelos. Je passe beaucoup de temps au travail à présent, jonglant entre la radio et la télé où je suis la miss j’ai testé pour vous. Je profite de ma vie tous les jours ne voulant pas avoir de regret, jamais !

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❝ wanna know more ?❞

fait des grimaces à longueur de temps × a un chien du nom de Presley × a une collection de vinyles impressionnante × retient sa respiration 5 secondes et en est fière × aime le chocolat × a une âme d'enfant et est parfois immature × a déjà parlé à une bouteille de vodka, une fois bourrée × danse tous les matins en petite culotte × roule trop vite × avait une correspondante japonaise × déteste les plats fades × adore sauter sur les gens quand ils dorment × danse dans sa voiture à tous les feux rouges × mange cinq fruits et légumes par jours × a sauté en parachute × ne sortait jamais sans son skate board adolescente × a terriblement souffert de la mort d'une de ses soeurs × est allergique au pollen × est fascinée par les adolescentes, fan de Edward Cullen et Justin Bieber × se serre d'un paquet de tabac vide comme portefeuille × ne met jamais de vernis × n'a jamais eu que des sac en bandoulière × voulait être astronaute ou vétérinaire × peint très bien × a acheté une brosse à dents pour les dix huit ans de son meilleur ami × collectionne les photos de personne en vélo × fait des blagues toutes les trente secondes × rêve d'aller à Hawaï × s'amuse à refaire les dialogues des pubs × déteste se mettre en short × trouver les télés réalités stupides × adore la moussaka × déteste les blagues sur les blondes × déteste l'odeur des malabars × a donné un surnom à sa voiture × adore les couchers de soleil sur la plage × emmène son chien courir tous les jours et ramasse ses crottes, oui madame × est trop jalouse × ne raterait un épisode des Simpsons pour rien au monde × trouve que le string, ça fait vulgaire × se prends pour un ninja quand elle essaye de tuer une mouche × a peur des vaches × a toujours eu plus d'amis garçons que fille × ne supporte pas qu'on renifle × n'a honte de presque rien × adore son nez parce que c'est le même que sa mère × porte rarement des bijoux × connait les répliques de Jack Sparrow par coeur × ne peut pas s'empêcher de rire des hommes avec des cols en V × donne des surnoms ridicules à tout le monde × dit pas mal de gros mots × voulait apprendre le finnois

Bienvenue sur le forum =)
Je dirais Ashley puisque une membre avait réserver Katie.
Bonne chance pour ta fiche

la magnifique KIKI BELL !
bienvenue parmi nous