Sujet: PRIAM ☂ heaven can wait Dim 10 Juil - 22:59
❝ PRIAM KOSTAS STAMOS.❞
NOM(S), PRÉNOM(S)☞Stamos, Priam KostasAGE ☞ vingt ansDATE & LIEU DE NAISSANCE ☞neuf septembre mille neuf cent quatre-vingt dix à Thèbes, GrèceSTATUT ☞classe moyenne ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE ☞étudiant en médecine et moniteur de surf et de kitesurfSTATUT FINANCIER ☞classe moyenneGROUPE ☞gimme gimme gimme AVATAR ☞LucasTill
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❝ wanna know more ?❞
➝ Priam fume énormément et notamment des cigarettes. On a beau lui répéter que c'est pas bon pour sa santé, il s'en fiche il ne peut pas s'en passer. Lorsqu'il est en soirée il lui arrive aussi de gouter à toutes sortes de produits pas très recommandé et de boire. ➝ Il se drogue régulièrement et de plus en plus bien qu'il dise qu'il n'est pas accro. ➝ Il déteste les hypocrites et les gens qui ont la critique facile. Lui, lorsqu'il a quelque chose à dire, il le fait toujours face à la personne. ➝ Lorsqu'il est mal à l'aise et gêné il a prit l'habitude de passer sa main dans ses cheveux. ➝ C'est un garçon attachant, mais très jaloux et possessif. On dit aussi de lui qu'il est drôle, gentille, serviable, bordélique, sportif, passionné, intelligent, impulsif et parfois violent. ➝ Il est très doué en surf et en kitesurf, c'est d'ailleurs pour ça qu'il donne des cours aux touristes ou bien à des petits du coins. Et parmi ses autres talents il y a aussi la guitare et le piano ➝ Priam est très proche de sa soeur et serait près à faire n'importe quoi pour elle. ➝ Il est ce que l'on appel "un surdoué" et c'est d'ailleurs l'une des raison qui l'ont pousser à suivre des études de médecine. ➝ Sa mère est morte alors quand il avait neuf ans et aujourd'hui il ne s'entend plus du tout avec son père, on peut même dire qu'il le déteste. ➝ Il adore les animaux et possède d'ailleurs deux chiens. Par contre il a une peur bleu des insectes comme les araignées ou les trucs comme ça.
Spoiler:
❝ SUPER TROUPER.❞
PSEUDO/PRÉNOM ☞iciAGE ☞17 ansTU VIENS D'OU COMME ÇA ? ☞bazzartTU AIMES ? ☞il est parfait le forum que j'attendais ! TA FRÉQUENCE DE CONNEXION ? ☞on est en vacance alors tout les jours !AUTRE CHOSE ? ☞ici
Dernière édition par Priam K. Stamos le Mar 12 Juil - 20:45, édité 6 fois
Invité
I swear I'm up to no good
Sujet: Re: PRIAM ☂ heaven can wait Dim 10 Juil - 22:59
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❝ the story of your life.❞
« Ça va aller Priam, je te promets que ça va aller.. » Je me souviens encore parfaitement de ces quelques mots que ma soeur Rhéa n'arrêtait pas de me murmurer à l'oreille alors qu'elle me serrait contre elle, moi qui n'avait que neuf ans et qui était en larme. Pendant de long mois et même de longues années, je me suis demandé sans cesse comment est ce qu'elle avait fait pour rester si forte après l'annonce du décès de notre mère ; elle aimait cette femme tout autant que moi et pourtant pas une fois je n'ai vu une larme couler sur ses joues.. C'était incompréhensible pour moi à cet âge là, qu'elle ne soit pas touché, comme moi je l'étais - surtout que j'avais encore cette idée complètement débile que les garçons sont plus fort que les filles sur tout les plans - mais aujourd'hui, je crois être tout à fait capable de répondre. Si ma soeur a été si forte, si tout les soirs elle venait me voir pour me prendre dans ses bras, me réconforter et pour essayer de combler le vide laisser par ma mère, c'était parce qu'elle voulait me protéger. Toute sa vie c'est ce qu'elle a fait de toute façon. Déjà quand je venais juste de naitre, il parait qu'elle était toujours après moi pour savoir si j'allais bien, et dès que je me mettais à pleurer elle accourait la première pour essayer de me calmer. C'est ma mère qui me disait toujours ça, avant qu'elle ne nous quitte suite à sa mort soudaine. En résumé, ma soeur c'est tout ma vie, la personne la plus importante pour moi, et si à cette époque plus que jamais elle ne voulait me protéger ce n'était pas spécialement à cause de la perte de notre mère, du moins je ne crois pas ; mais elle avait très rapidement comprit qu'à partir du moment ou nous allions resté seuls avec mon père, les choses allaient se détériorer à vitesse grand V. Comme je le dis toujours, elle est très intelligente et comprends tout très rapidement. Mais entre nous, je ne crois pas qu'une seule fois elle n'ait pu penser que les choses iraient aussi loin ou du moins que mon père, serait capable d'aller aussi loin. Les premiers mois sans ma mère furent très difficiles pour tout le monde - même pour Rhéa j'en suis certains, bien qu'elle ne le montre pas. En même temps, en plus de perdre un être chers, on avait en quelque sorte perdu "la" personne qui dirigeait tout dans cette maison. C'est vrai, ma mère était une femme déterminé, très sûr d'elle et de ce qu'elle faisait. Elle était journaliste pour un journal et reconnu pour ses articles critiques et pas toujours sympathique. Elle n'avait pas peur de ce qu'on pouvait dire d'elle, ce qu'on pouvait penser sur son opinion. Elle assumait tout à fait ses choix et c'était d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle je l'admirais. Elle avait une belle carrière devant elle, qui lui prenait du temps certes, mais malgré tout elle a toujours réussis à trouver un moment pour nous deux. D'ailleurs ce ne serait pas vous mentir que de vous dire que j'ai durant mes neuf première années de vie été bien plus proche de ma mère que de mon père qui pourtant n'était qu'un simple employé dans une boite minable. Lui il avait d'autres occupations qu'il trouvait sans doute plus intéressante. Enfin tout ça pour dire que quand ma mère est partie, ça a fait un trou énorme dans la maison, il n'y avait plus cette joie qui émanait d'elle. C'était, vide, triste et ennuyeux.
« Arrêtes tes conneries Priam ! Tu vas faire ce test, c'est important » « Non » répondis-je simplement à ma soeur qui semblait désemparer devant mon refus. Ça faisait des jours qu'elle essayait de me faire aller à l'hôpital. « Ca se trouve t'as besoin de te faire soigner.. Si ça se trouve, toi aussi t'as.. ça .. » Quand elle parlait de "ça" elle voulait parler de la maladie de ma mère, celle qu'on avait découverte trop tard et qui avait causé sa mort subitement. Je sais pas pourquoi mais Rhéa n'arrivait jamais à en parler. Je tournai mon regard vers elle et haussa simplement les épaules. Je ne voulais pas savoir. SI je devais mourir j'y passerais, de toute façon cela arriverait bien un jour. Est ce que j'avais peur ? Oui, c'est sûr, et j'ai encore peur aujourd'hui. Je n'ai toujours pas fait ce test et je ne pense pas le faire un jour de toute façon. J'ai toujours été comme ça, à vouloir profiter un maximum de la vie, sans me prendre la tête.. des cachets à vie et des visites médicales tout les mois très peu pour moi ; mais ça Rhéa ne pouvait pas le comprendre, c'est une fille bien trop sérieuse pour ça. Elle dès qu'elle avait pu elle avait fait ce test, elle n'était pas malade et c'était tant mieux. Mais moi il était clair que jamais je ne le ferais. La pauvre.. je crois qu'avec cette histoire elle a faillit devenir folle, d'ailleurs après après plusieurs minutes de cette conversation houleuse, elle était tellement désespérée qu'elle a fait appel à mon père qui était là assis sur le canapé, devant la télé.. Comme toujours. Bien évidemment il n'a pas répondu, de toute façon on ne vivait plus dans le même monde depuis plusieurs années, depuis que ma mère était morte en fait. Enfin.. lui c'était enfermé dans une sorte de bulle, encore plus qu'auparavant. Si ma soeur essayait de renouer le contact, moi j'avais abandonner depuis bien longtemps. Cet homme n'était pas mon père, mais juste le mec qui vivait avec nous, que je croisai tout les jours sans échanger un mot et que je voyais de plus en plus souvent complètement soul. Bref, il n'était rien pour moi, et c'est toujours le cas aujourd'hui. Rhéa n'a jamais comprit pourquoi j'ai réagis comme ça, mais sans doute ne l'a t-elle jamais vu comme moi je l'ai vu un soir, alors qu'elle bossait dans ce restaurant minable - un job qu'elle avait accepté pour des raisons financière. Quand mon père est rentré ce soir là, je devais avoir seize ans. Comme d'habitude il était tard quand il passa la porte, et à peine entré je pu sentir une odeur atroce d'alcool se répandre dans toute la pièce. Comme toujours je ne faisais pas attention à lui, il allait sans doute rejoindre sa chambre et dormir profondément jusqu'au lendemain matin. Après tout c'est toujours ce qui se passait. Mais cette fois ci il me surpris et s'approcha de moi en titubant, d'un pas mal assuré, bref, tel un ivrogne qu'il était. Je ne bougeai pas, concentré sur l'émission que j'étais entrain de regarder quand il se jeta sur moi. Pourquoi ? Comment il a fait pour être aussi rapide ? J'en sais rien. Je me souviens juste que je me suis retrouvé par terre en moins de deux, un pluie de coup qui me tombait dessus. Non, j'ai rien compris et aujourd'hui encore je comprends pas ce qui s'est passé dans sa tête, mais ça a duré un petit moment comme ça. Choqué j'ai pas réagis tout de suite puis à un moment je me suis réveillé et j'ai frappé moi aussi, j'ai frappé jusqu'à ce qu'il arrête. Il me hurlait des truc incompréhensible, on aurait presque dit qu'il était posséder ou je sais pas quoi ! Finalement, une fois qu'il fut calmer et moi bien amocher, il s'installa sur le canapé comme si de rien n'était et moi je sortis. Quand je rentrai, il était sept heure du matin un peu près, ma soeur était dans le salon morte d'inquiétude limite entrain de m'engueuler parce que j'avais passé la nuit dehors. « Mais qu'est ce qui s'est passé ? Qui t'as fait ça ? » me demanda t-elle en voyant mes nombreuses blessures. J'ai regardé mon père qui lui n'avait presque aucune marques contrairement à moi. « C'est des mecs que j'ai croisé dans la rue.. » Aujourd'hui encore elle ne sait pas la vérité, et c'est pour ça qu'elle ne comprends pas à quel point je déteste cet homme.
Passer le reste de ma vie avec mon père ou bien même dans la même ville, ne m'intéressait pas. Je cherchais plus à le fuir qu'autre chose depuis notre altercation et je crois que Rhéa s'en est rendu compte... en même temps je vous raconte pas l'ambiance qui régnait chez nous. Ainsi quand elle m'a annoncé qu'elle partait, qu'elle quittait la ville pour aller continuer ses études à Skopelos, je n'ai pas hésité une seconde et je lui ai juste dit que je venais avec elle. Elle n'a pas refusé et heureusement pour moi ! Me retrouver seul avec cet homme airant dans notre maison, je n'aurais pas pu le supporter et puis être loin de ma soeur aussi aurait été beaucoup trop difficile. Ainsi alors que j'avais dix sept ans et elle vingt deux, nous primes tout les deux l'avion en direction de cette magnifique île que nous connaissions un peu pour y avoir passer des vacances lorsque j'avais cinq ans ou six ans, quand ma mère était encore de ce monde et que tout allait pour le mieux dans ma famille. Trois ans maintenant que je suis là, et je ne regrette pas mon choix je n'ai jamais été aussi heureux ! Avec mon boulot, mes études de médecines, et ces soirées auxquels je participe tout le temps.. Ma soeur vous dire que je suis entrain de me tuer à petit feu, que je devrais arrêter de boire, de consommer tout ces trucs pas très recommandés, mais moi je vous dirais simplement que je profite à fond de ma vie, et que j'aime ça.
Dernière édition par Priam K. Stamos le Mer 13 Juil - 22:39, édité 9 fois
Invité
I swear I'm up to no good
Sujet: Re: PRIAM ☂ heaven can wait Dim 10 Juil - 23:10
LUCAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS Pardon Bienvenue et sinon épouse moi
BORDEL; TILL; bienvenue et bonne suite pour ta fiche. C'est un super bon choix si tu veux des bannières ou des gifs sur till dis moi, j'en ai quelques uns