ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame !
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Sujet: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 20:58
❝ Romy Daphnée Vessilis.❞
NOM(S), PRÉNOM(S)☞Mon prénom est Romy, on me demande souvent si c'est un surnom, mais c'est bien comme ça que je m'appelle. Dans l'ensemble j'ai toujours bien aimé mon prénom même s'il fait un peu fifille. Mais sinon niveau surnom difficile de faire plus court tout en restant crédible. Daphnée était le prénom de ma grand-mère et puis après pour le nom de famille tout le monde sait comment ça fonctionne. AGE ☞Et oui ça fait déjà vingt-trois ans que j'emmerde la population de cette planète !DATE & LIEU DE NAISSANCE ☞Je suis née un 21 juin à Athénes, dans une maternité parmi les autres.STATUT ☞Célibataire en ce moment. J'ai souvent des relations qui ne durent pas bien longtemps - faute aux quelques problèmes que je rencontre avec mon colocataire (a) ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE ☞J'ai toujours aimé voir la vie de différentes façon, quand j'étais petite je m'imaginais pouvoir me glisser derrière les yeux de chaque personne pour pouvoir voir comme elle. Hélas personne n'a encore inventé une machine capable de faire cela et que je me vois mal essayer des rites de possession satanique je me contente de prendre des photos. C'est comme ça que je réussis le mieux à montrer au monde comment je le perçois. Bien sûr je ne peux vivre de mes uniques œuvres, tout en travaillant à la galerie je propose mes services pour les mariages, les anniversaires et autres. STATUT FINANCIER ☞Je ne suis ni riche, ni pauvre, j'ai assez pour vivre bien c'est l'essentiel. Même si comme tout le monde j'en voudrais plus, l'argent ne pousse pas dans les arbres comme dans animal crossing. GROUPE ☞❝ the winner takes it all.❞AVATAR ☞Dianna Agron
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❝ wanna know more ?❞
Romy ne va jamais dans la mer, elle en a peur. Elle panique totalement dès qu'elle met un pied dans la mer, même si elle sait nager elle se noierait sous la panique. ☞ Elle ne fume pas, elle trouve ça stupide et aspire à mourir d'autre chose qu'un cancer du poumon. ☞ Elle ne dit jamais d'injure, si cela arrive c'est vraiment qu'elle est très très en colère. ☞ Elle a toujours un appareil photo autour du cou ou dans la poche. Elle ne peut pas s'empêcher de photographier tout ce qu'elle voit. ☞ Elle ne montre pas souvent ses photos personnelles, pour elle c'est comme regarder dans son cœur, rares sont ceux qui y ont accès. ☞ Elle déteste la tomate en fruit, elle adore la sauce tomate, le ketchup, la pizza, mais la tomate en fruit la répugne. ☞ Elle mange beaucoup de salade verte, avec ou sans assaisonnement, c'est une vraie tortue. ☞ Elle aime beaucoup les fêtes et est toujours la première à aller danser même si elle est parfois beaucoup trop timide pour faire le premier pas. ☞ Elle passe la plupart de son temps sur les falaises qu'elle trouve calmes et fascinantes. ☞ Elle ne supporte pas les gens qui font craquer leurs doigts. ☞ Elle ne dort pas souvent la nuit, elle n'en a pas besoin. Avec ou sans sommeil elle est toujours hyperactive.
Spoiler:
❝ SUPER TROUPER.❞
PSEUDO/PRÉNOM ☞weeping angel. / AlexiaAGE ☞17 pigeonsTU VIENS D'OÙ COMME ÇA ? ☞là tout de suite je reviens des toilettes Bazzart capitaine (a)TU AIMES ? ☞Oui j'ladore c'est mon amour mon trésor ♪ TA FRÉQUENCE DE CONNEXION ? ☞5/7jAUTRE CHOSE ? ☞Que dire d'autre ?
Dernière édition par Romy D. Vessilis le Mar 12 Juil - 17:03, édité 5 fois
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:03
❝ the story of your life.❞
Bon je suppose qu'il vaut mieux commencer par le début n'est-ce pas ? Je suis née il y a donc vingt-trois ans à l'hôpital général d'Athènes. Mais je n'étais pas seule dans le ventre de ma mère, il se trouvait que j'avais un jumeau. Il s'appelait Erik. Pourquoi s'appelait ? Je vous en parlerais plus tard. Maintenant je vais vous présenter les principaux acteurs qui ont tenu les rôles principaux dans mon enfance.
Mes parents, ils n'étaient pas plus sévères que d'autres et je n'étais pas une enfant turbulente - ou peut-être un petit peu ? J'étais une incroyable curieuse, trait commun que je partageais avec Erik, ce qui nous valait pas mal d'ennuis d'ailleurs. On était inséparable, malgré nos différences. Comme son épaisse tignasse brune totalement en opposition avec mes fins cheveux blonds, il était plutôt massif niveau muscle - tout mon contraire soyons sincères - à vrai dire notre seul trait commun était la couleur de nos yeux, changeant selon le temps qu'il faisait dehors. C'était mon rayon de soleil, on était comme les deux faces d'une même pièce. J'aurais dû comprendre bien plus tôt qu'une pièce ne peut pas tenir éternellement sur sa tranche, à un moment où un autre elle tombe et une face finit toujours par disparaitre.
C'est à mes six ans que j'ai rencontré un garçon qui allait littéralement changer ma vie. Il s'appelait Adonis, il est bien vite devenu mon meilleur ami. Au début je pense que tout allait bien pour lui, c'est deux ans plus tard que tout a dégénéré. Je me souviens encore de ce jour, maman était entrée dans ma chambre, j'étais en train de dessiner un chat - ou du moins j'essayais. Erik jouait au foot dehors, j'entendais les coups qu'il donnait contre le mur de la chambre. « Erik tu m'énerves j'essaye de dessiner ! » « Toi dessiner ? Tu sais à peine tenir un crayon ! » J'envoyais ledit crayon à travers la fenêtre, il atterrit violemment sur sa poitrine avant de tomber au sol « Oups ça m'a glissé des mains (a) » « Qu'est-ce que je disais ? Incapable de garder un objet en main, ça doit être à cause des cheveux blonds... » « Attends, je vais te les montrer de plus près mes cheveux blonds... » J'escaladais la fenêtre pour passer dans le jardin, mais déjà il avait détallé dans le jardin du voisin. Je ricanais et retournais à mon travail quand la porte s'ouvrit sur ma mère, ses yeux étaient rouges et une expression que je n'avais jamais vue avait prit place sur son visage.
Je suis descendue de la fenêtre et elle s'est accroupie devant moi et elle a passé une main dans mes cheveux blonds, elle essaya de sourire, mais le résultat n'était pas vraiment approchant. « Ma chérie, la maman d'Adonis a eu un accident, elle est montée au ciel. » « Comme Missy ? » Missy c'était mon hamster, un jour je l'avais trouvé dans sa cage, elle ne bougeait plus. « Oui, Adonis est dans le salon, son papa viendra le chercher dans la soirée, tu devrais aller le voir. » Sa voix était hachée, elle était très amie avec la mère d'Adonis. Je partis vers le salon, fuyant le visage de ma mère tordu de cette étrange expression qui m'était toujours inconnue. Mon ami était assis sur le canapé, les bras le long du corps il ne parlait pas, il ne sourit pas à mon entrée dans la pièce. Quand il leva le visage vers moi je me figeais, perturbée par son regard. Les ombres s'étaient nichés à l'intérieur, projetant leur sombre aura tout autour de lui. Son expression, tellement identique à celle qu'arborait ma mère. Je m'avançais finalement, hésitante du haut de mes huit ans. Je me suis juste assise à côté de lui et j'ai posé la tête sur son épaule. Au début il ne réagit pas, il avait tellement mal. Mon visage se contracta, mes yeux me piquèrent et je devinais que si je me regardais dans un miroir, je trouverais des ombres dans mes yeux. C'est pour la première fois que je la découvris, cette chose qui embrumait nos visages. La tristesse.
Trois ans passèrent et Adonis devint comme un membre de notre famille, il passait tout son temps chez nous et mes parents le traitaient comme un second fils. Les ombres ont mis beaucoup de temps à disparaitre de son regard et parfois j'ai l'impression qu'elles sont juste cachées quelque part, où lui seul peut les contempler. Mais de nouvelles apparurent, plus constantes, plus douloureuses. Et bientôt elles se matérialisèrent sous la forme de bleus sur sa peau. Je le voyais revenir de chez lui avec des plâtres, des brûlures et toujours une justification pour ses malheurs bien sûr. Quand je suis devenue un peu plus grande j'ai commencé à poser des questions, à chaque fois il se débrouillait pour changer de sujet. Ça me rendait malade de savoir qu'il avait mal et que je ne pouvais rien faire pour l'aider car, il refusait de parler. À cette époque il vivait quasiment chez nous, je ne voyais pas vraiment le père d'Adonis souvent, ce dernier évitait soigneusement que cela se produise, mais les rares fois où je l'ai aperçu il ne tenait presque pas debout.
Et ce fameux début d'été est arrivé, il y a six ans maintenant, mais je m'en souviens comme si c'était hier. J'étais partie pour un week-end avec des amis, Erik était venu bien entendu. Les garçons voulaient à tout prix faire du surf. Les vagues étaient rares en Grèce c'est pourquoi nous avons passé des heures dans un mini-van sans climatisation roulant vers l'unique coin qui pouvait nous assurer des vagues décentes. Il y avait beaucoup de houle et des rouleaux impressionnants venaient s'écraser contre les récifs pointus. L'air embaumait le sel et le soleil, malgré le vent j'avais retiré mon tee-shirt, dessous je portais un haut de maillot de bain. J'étais restée plusieurs minutes sans bouger, laissant le vent caresser ma peau, mes pieds s'enfoncer dans le sable. Le vent était vraiment violent et mes cheveux ne tardèrent pas à se libérer de la barrette qui les emprisonnaient. Soudain de l'eau glaciale m'éclaboussa, me transperçant jusqu'aux os. « Hey ! » criais-je à Erik qui hilare se roulait sur le sable. « Espèce d'idiot, elle est glacée ! » Je me baissais pour empoigner un peu de sable et lui jeter à la figure. Eau + sable = pas une sensation très agréable héhé. Il se releva avec sa deuxième peau sablonneuse en tendant les bras vers moi « Tu veux un câlin pour me faire pardonner ? (a) » Il s'approcha dangereusement, il ne m'en fallut pas plus pour partir en courant. Je n'ai jamais été une grande sportive et en quelques enjambées il me fit tomber au sol dans une étreinte de fer. Je sentais le sable froid et humide se coller désagréablement à ma peau tandis que nous étions secoué d'un fou rire. « AU VIOL AU VIOL ! » Je hurlais entre deux gloussements « Roh tu sais bien que je t'aime ma sœurette (a) » Je me débattais alors que lui se collait de plus en plus à moi « Aller dis moi que tu m'aimes. » « Très bien, très bien je t'aime ! » Il eu un petit sourire malicieux avant de soupirer « Moi aussi je m'aime beaucoup. » Il me fit un petit bisou sur la joue avant de courir après ses amis déjà à l'eau. Il m'adressa une petite grimace dans sa course, ne se doutant pas que ce serait la dernière fois où ses pieds fouleraient le sol. Un instant il chevauchait des vagues monstrueuses, de l'eau perlant de ses cheveux, un grand sourire éclairant son visage et l'autre il disparaissait sous la surface, près des récifs. Il nous fallut quelques minutes pour nous apercevoir que ce n'était pas une blague. Qu'il devait être blessé. J'ai courus dans l'eau, hurlant et cherchant sa chevelure familière dans les rouleaux cobalt. Erik demeurait introuvable. Il commençait à pleuvoir et le courant m'emportait, de l'eau entrait dans ma bouche, m'étouffant, mais je ne pouvais pas concevoir de l'abandonner ici. Je gelais sur place, mes larmes se mêlant aux vagues traitresses qui refusaient de me rendre mon frère. Je jetais un œil au rivage, malgré la houle battant furieusement dans mes cheveux j'apercevais mes amis, ils n'étaient pas seuls des hommes en maillot de bain et gilet de sauvetage rouge étaient arrivés. « ERIK ! ERIK ! » Je hurlai toujours, refusant de laisser la mer emporter mes espoirs dans son courant. J'arrivais près des récifs, là où l'eau formait une gueule béante ayant aspiré mon frère dans ses tréfonds. C'est deux secouristes qui vinrent me chercher, je me débattais comme une hystérique, mais ils avaient la poigne ferme et ils me tirèrent sur la rive sans difficulté. La quantité d'eau que j'avais avalé me brulait à présent la gorge, mais c'était moins insupportable que le désespoir qui consumait mon cœur. Sur la plage tout le monde pleurait, je les trouvais stupides de perdre l'espoir si vite. C'était avant qu'ils ne s'écartent pour me montrer ce que les vagues avaient rejetés sur le sable. La planche d'Erik. Brisé en mil morceaux. Comme moi à présent. Je tombais à genoux devant les débris, elle s'était brisée comme une brindille contre la roche pointue. Je restais silencieuse, des larmes aussi froides que la mer glissant toujours sur mes joues pâles pour mourir dans le sable. Je ne disais plus rien parce que maintenant j'avais compris. Compris qu'il ne remonterait jamais à la surface.
Beaucoup d'adjectifs conviennent pour décrire la vie, mais moi je sais qu'il n'y en a qu'un seul de vrai : fragile.
Je passais la nuit au centre de soins de la ville, j'avais des coupures diverses sur tout le corps et quelques bleus. Trois jours passèrent et on ne retrouva jamais son corps, la police le déclara mort, il ne pouvait survivre à un tel choc. Mes parents s'effondrèrent à la nouvelle, moi je me murais dans un silence douloureux, j'avais si mal et je n'étais pas prête à m'occuper du mal des autres. Le trajet du retour en voiture fut le plus affreux de toute ma vie. C'était comme accepter l'idée qu'il soit partit, c'était l'abandonner, le laisser là-bas aux mains des eaux froides. Ce n'était pas un endroit pour lui, ce jeune-homme rayonnant qui apportait le soleil à chacun de ses sourires ne pouvait reposer éternellement dans un endroit si sombre. Quand je rentrais pour la première fois chez moi, Adonis m'attendait, assis dans ma chambre. Je me suis assise en silence à côté de lui, comme la dernière fois où les ombres s'étaient emparées de mon regard. Maintenant je comprenais la question cachée que renfermaient tous les regards tristes, un unique mot sous-entendu dans chaque seconde qui s'écoule de cette vie fragile : pourquoi ? Toujours assise loin de lui je contemplais ma chambre, le désordre régnait en maître dans la pièce, je n'ai jamais été très organisée. Je regardais Adonis avec une sorte de sourire « Je crois que c'est moins le bordel dans ma chambre que dans ma tête. » J'émis un petit son hystérique mi-ricanement mi-gémissement avant que les larmes ne se mettent de nouveau à couler sur mes joues. Il m'attira à lui et pour l'instant je n'avais besoin de rien de plus que quelqu'un pour m'étreindre pendant que je pleurais la perte de mon frère.
Et la vie reprit son cours, malgré ceux qui comme moi s'étaient arrêtés pour la regarder passer. Je restais souvent dehors, ne supportant plus l'atmosphère dans ma maison, ce n'était pas devenu violent, tout au contraire : il n'y avait plus un bruit. Plus personne ne parlait, ne riait, la télévision restait toujours allumée, dans un vain effort pour simuler la vie. Dès que je franchissais le pas de la porte toute mon énergie disparaissait, aspirée par la torpeur et les souvenirs qui planaient dans la maison. Tout me rappelait sa présence, ma propre maison était devenue un tombeau. Je devais partir, sinon j'allais pourrir ici comme mes parents. C'est Adonis qui trouva la voie de mon salut.
Il me proposait une nouvelle vie, pas seulement pour moi, mais pour lui également. Un nouveau départ sur une petit île appelée Skopelos. Un endroit tranquille, loin de la grande ville, je pourrais tourner la page, vivre de nouvelles aventures. Après tout l'important dans la vie n'est pas de respirer, mais d'avoir le souffle coupé. _____________________________________________________________
Six ans. Six années ont passées depuis mon arrivée à Skopelos, le temps a atténué mes ombres et j'ai grandi. Sans Erik certes, mais pas seule. Parce qu'il est toujours là, Adonis. Nous habitons dans une petite maison tranquille, tout récemment un troisième habitant nous a rejoint, notre petit chiot labrador, Crockdur. Nous vivons une vie paisible, loin de la douleur. Je suis photographe, je ne peux pas encore vraiment vivre de mon art alors en plus de tenir une galerie je m'occupe de couvrir tous les évènements se déroulant à Skopelos. Dans l'ensemble je me suis toujours bien entendue avec Adonis, on prenait soin l'un de l'autre comme nous l'avions toujours fait. Mais depuis quelques mois quelque chose a changé. Jusque là aucun de nous ne se mêlait de la vie amoureuse de l'autre, mais à présent cette barrière semble avoir sauté et les disputes s'enchaînent. Puis il y a autre chose. Quelque chose enfouit profondément, qui donne des frissons, qui fait peur, qui fait sourire, qui fait souffrir. Qui coupe le souffle.
Dernière édition par Romy D. Vessilis le Mar 12 Juil - 17:13, édité 35 fois
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:06
Je t'aime Sinon si tu as la moindre question, poses la moi . Pas aux autres Allez, maggle. Hâte de RP avec toi
Invité
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:07
Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:08
bienvenue parmi nous. si tu as la moindre question, n'hésite pas.
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:08
Bienvenue à toi Tu fais un heureux là xD
Bonne chance pour ta fiche très bon choix de scéna
Invité
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:18
Adonis → J'aime les gens qui m'aiment Pas de problème, je ne vais pas hésiter à remplir ta boite mp *mode sans scrupule on* Je finirais ma fiche surement demain, on se fera un rp
Logan → Oh merci beaucoup beau jeune homme
Tarana → Freida Merci beaucoup
Mickaëla → Minka est splendide *-* Merci
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:19
DIANNA. J'ai tellement hésité avec elle ! Bienvenue !
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:19
AGRON Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:22
Non non, je vais être triste que quelqu'un ai prit mon scénario, je suis un peu con que voulez-vous MDR
Invité
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:25
Naïma → Merci Amber est juste délicieuse
Iris → Ton prénom + la magnifique Candice = Merci beaucoup
Adonis → Parle pas trop vite, peut-être que je vais te mener la vie tellement dure que tu vas regretter ma venue *sort*
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:27
Si je pleures faudra me réconforter
Invité
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:29
HAN AGRON bienvenue et bonne chance pour ta fiche garde-moi un lien (a)
Invité
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:31
Adonis → Celle qui s'approche je la fouette Nan, mais tu vas voir je suis un vrai petit ange
Cayden → Oh Jensen Merci beaucoup, pour le lien ça sera avec grand plaisir
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 21:34
Comme le premier qui s'approche de Romy, se prend un belle tarte dans la gueule
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 22:17
On serait pas un peu possessif sur les bords ? *dit-elle *
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Dim 10 Juil - 22:24
Du tout
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Mar 12 Juil - 17:13
Et voilà j'ai finis
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Mar 12 Juil - 18:10
Grongron bienvenue
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame ! Mer 13 Juil - 0:29
VALIDEEEEEEEEEEEEE !
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Sujet: Re: ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame !
ROMY ✿ la vie n'est pas un long fleuve tranquille - alors tais-toi et rame !